Peindre un paysage, c’est traverser le temps. C’est donner chair à la lumière, aux ombres et aux horizons, pour que la nature parle d’elle-même. Dans mes toiles, je cherche à capter cette respiration de l’univers : Les clairières baignées d’or où les cerfs se reposent dans un silence sacré. Les cités majestueuses, comme Venise, où l’eau et la pierre s’unissent dans une danse intemporelle. Les châteaux et vallées romantiques, témoins d’histoires oubliées, se dressant comme des gardiens de mémoire face au ciel changeant. Chaque paysage est une invitation à entrer dans une atmosphère, à se perdre dans la lumière, à ressentir l’infini qui se cache derrière un rayon de soleil ou un nuage d’orage. Car un paysage peint n’est jamais seulement un décor : il est un voyage intérieur, une traversée vers ce que l’âme reconnaît comme familier et pourtant mystérieux.